la préfète est hors la loi
- Les droits fondamentaux (boire, manger, se protéger du chaud et du froid, se laver…) ne sont pas respectés dans notre ville.
- 400 migrants survivent dans un campement indigne au centre de Nantes
- 1974 personnes vivent en bidonville
- 4200 personnes sans domicile ont fait une demande d’hébergement d’urgence en Loire-Atlantique en 2016, le 115 ne dispose que de 25 places par jour !
les réponses de la mairie
Malgré les déclarations de Johanna Rolland : « quand on dit liberté, égalité, fraternité, c’est bien ; quand on le traduit dans les actes c’est mieux », les réponses de la mairie ne sont pas à la hauteur des besoins que réclame depuis des années la crise humanitaire qui se déroule aujourd’hui sous nos yeux.
un élan de solidarité
Un élan de solidarité à l’égard de ces populations en détresse s’est construit à Nantes. Il regroupe des associations, des syndicats et de nombreux citoyens et citoyennes qui refusent d’accepter cette situation particulièrement inhumaine, entretenue par les pouvoirs publics.
l’humanité de demain se construit avec l’accueil d’aujourd’hui
toutes et tous à la manifestation le 22 septembre à 15H, Square Daviais, pour dénoncer l’insupportable et exiger de véritables solutions, dignes et pérennes
A l’appel des associations et organisations : Afrique Loire, ASSAMLA, L’autre cantine, CIMADE, CSF, CSPN, Collectif de soutien aux migrants 44, DAL, Emmaüs, Intersyndicale (CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA), LDH, Logis Saint-Jean, Médecins du Monde, RESF, UJM44… (liste en cours)