Affirmer, comme l’a fait le ministère au début de l’été, qu’il y aura « un professeur devant chaque classe à la rentrée » relève au mieux d’un voeu pieu, au pire d’une chimère. Avec plus de 4 000 postes d’enseignant·es non pourvus, difficile pour le ministre Pap Ndiaye de jouer la carte de l’optimisme.