Ce 4 février, près de 200 rendez-vous de mobilisations ont montré la détermination des travailleuses et travailleurs que le gouvernement refuse d’entendre.
À l’appel de l’intersyndicale, les mobilisations ont pris des formes très diverses, dans le respect des gestes barrières : rassemblements et manifestations, grèves, actions d’occupation… et d’abord rassemblements sur les lieux de travail. Citons, par exemple, Sanofi, où se concentre le scandale de suppressions de postes et de destruction d’un fleuron de la recherche, avec l’aide des subventions d’État : un fiasco qui fait de la France une des seules nations à renoncer au développement d’un vaccin.
Certes, des mesures ont été prises mais, en premier lieu, au bénéfice des actionnaires des grands groupes. Les aides de l’État ne sont toujours pas conditionnées à l’emploi : nous refusons les licenciements et réclamons du travail pour toutes et tous. Le soutien de l’État à l’économie doit profiter avant tout à la population.
Pour en savoir plus, lire le communiqué de la CGT