Publication ICILe recrutement des AEd se fait sous l’unique responsabilité de la/du Chef·fe d’établissement
La/le CPE peut néanmoins participer au choix des candidatures et aux entretiens.
Le contrat de travail est local, de Droit public et engage l’établissement et ses responsables (décret n°86-83)
Il fixe les modalités de service et le temps de travail de l’AEd. Les AEd sont géré·es administrative-ment par les secrétariats (suivis de contrats, autorisations d’absences…). Les chef·fes d’établisse-ment sont « employeur·ses ».
Le « transfert » d’AEd d’un établissement à un autre – pour un remplacement de courte durée – pendant un même contrat n’est pas légal ni même souhaitable.
Les CPE ne sont pas des Chef·fes de service
Elles et ils sont responsables de l’animation de l’équipe, de l’organisation du service sous l’autorité des chef·fes d’établissement*.
La Journée de solidarité est intégrée aux 1607h
Donc non à la récupération de cette journée quelle que soit la forme (il faut calculer 1600+7h de journée de solidarité rajoutées par le gouvernement Raffarin en 2002**).
La CGT Éduc’action revendique
– La création d’une Brigade de remplacement des AEd lorsqu’elles et ils sont en congé maladie dès le pre-mier jour et à 100%. La CGT Éduc’action condamne la logique illégale de compenser des absences en débauchant les AEd des établissements voisins ;
– Le retour au recrutement académique comme c’était le cas pour les ancien·nes MI/SE ;
– La création de de deux statuts pour la Vie scolaire: celui d’Étudiant·es surveillant·es et celui de Person-nels de Vie Scolaire, d’Éducation et d’Animation, personnels titulaires de catégorie B1.
* référence à la circulaire N02015-139 du 10 août 2015 sur les Missions et fonction de Conseiller Principaux d’Édu-cation
** référence à l’arrêté du 4 septembre 2002 portant application du décret n° 2000-815 du 25 août 2000 modifié par le Décret n°2004-1307 du 26 novembre 2004 – art. 3 (V)