Il y a un an, le mouvement syndical mondial gagnait l’adoption de la première convention de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) contre la violence et le harcèlement dans le monde du travail. Magnifique victoire, sauf que pour s’appliquer la convention doit maintenant être ratifiée par les États. De nombreux pays ont enclenché la procédure, les îles Fidji ont même déjà ratifié. Silence radio par contre du côté français, ou le gouvernement laisse entendre qu’il souhaite ratifier « à droit constant », c’est à dire sans avancée sociale ! Autrement dit, le droit international d’accord mais seulement si cela ne crée pas d’avancées pour les travailleuses !
À l’initiative de la CGT, de Care et d’action Aid Peuples Solidaires, syndicats et associations féministes adressent une lettre ouverte à Emmanuel Macron pour exiger l’ouverture de négociations immédiates. Pour permettre aux salarié.e.s de faire entendre leur voix, cette lettre ouverte est disponible sous forme de pétition. Signez et faites signer !
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