En annonçant la suspension du processus de privatisation d’Aéroport de Paris la veille de la fin de la période pour l’obtention des signatures nécessaires au déclenchement d’un référendum d’initiative partagée (RIP), le gouvernement confirme deux choses :
ce sont bien les marchés financiers et surtout leur santé qui déterminent les intérêts financiers de l’État et non les enjeux économiques, sociaux et environnementaux du pays. La CGT n’a cessé de dénoncer cette politique à court terme de privatisation qui prime sur l’intérêt général et le caractère essentiel de service public de l’exploitation des aérodromes de Paris ;
l’impossibilité de nier le succès des 1 116 000 soutiens déjà enregistrés sur le site du ministère de l’Intérieur pour obtenir un référendum d’initiative partagée sur ce dossier, dans un contexte de mobilisation sociale dense.
Pour en savoir plus, lire le communiqué de la CGT