Cette journée de très forte mobilisation démontre qu’au-delà du site de Belfort, il est question de toute la filière énergétique en France. Au travers des discussions, un point fondamental est ressorti de la rencontre entre les parlementaires et les organisations syndicales de GEEPF : l’Etat doit prendre ses responsabilités en mettant General Electric (GE) face à ses obligations.
Forte de cette mobilisation, la CGT, à travers ses élus portera devant la direction, l’arrêt de ce plan que GE n’arrive pas à justifier.
Avec les salariés, la CGT réclame, auprès du gouvernement et des pouvoirs publics, un moratoire permettant de stopper le processus et d’engager un débat national sur le devenir de la filière industrie-énergie.
D’ailleurs, ces enjeux s’inscrivent aussi au niveau européen. A ce titre, la CGT propose une table ronde, entre le gouvernement, la direction de GE et les organisations syndicales.