Cela fait maintenant plus de 2 ans que la Direction Générale admet travailler à un rapprochement avec l’industriel italien Fincantieri. Depuis le début de ce dossier, la CGT n’a de cesse d’alerter sur les dangers que représente cette orientation dans la stratégie de NOTRE entreprise. Il est en effet important de rappeler que les principaux dirigeants de NOTRE entreprise sont nommés et agissent en fonction des consignes reçues par l’actionnaire principal de Naval Group (ex DCNS) qui est l’État.
Si on rajoute à cela le fait que le socle de notre activité, économiquement et industriellement, est encore pour bon nombre d’années directement issu des commandes de l’État, l’identité de notre VRAI PATRON ne fait aucun doute !
Avec de telles données d’entrées, que ce soit en tant que personnels de Naval Group mais également en tant que citoyens, nous avons tous notre mot à dire concernant NOTRE entreprise.
La CGT a décidé de sortir de sa zone de confort en allant parfois au-delà de la simple condamnation du projet Poséidon (nom de code du rapprochement avec Fincantieri). Nous avons, et ce à plusieurs reprises, repris les arguments utilisés par les défenseurs de ce projet pour tester leur validité et leur pertinence.