La mise en place de la réforme confirme les craintes de la CGT Educ’action :
- De nombreux enseignements seront moins proposés dans les lycées ruraux et périphériques (notamment les spécialités et options artistique et les langues anciennes et vivantes).
- Des classes et des groupes de spécialité surchargés.
- Une mise en oeuvre de la réforme différente d’un établissement à l’autre : choix des spécialités laissés aux élèves, trinômes de spécialités imposés, seuils d’ouverture différents d’une académie à l’autre, voire inexistants.
- 8 heures de « marge » en 1ère pour financer l’AP, les dédoublements, les enseignements optionnels… Bref, le partage de la misère à la discrétion des établissements !
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