Le 30/11/2016, la direction de l’Accoord signifiait à l’endroit de Yannick, notre délégué syndical CGT au sein de l’association, un avertissement sur la base d’accusations choquantes et infondées
Pire, notre camarade est mis en cause personnellement ! Et la direction s’est permise d’employer une série des termes extrêmement accusateurs et dévalorisants :
- « au détriment des intérêts de l’Association »
- « au mépris de Ia plus élémentaire équité entre salariés de I’Accoord »
- « masquer l’opération »
- « la manœuvre en est d’autant déloyale. »
Cette attaque portée contre la CGT Accoord à travers son délégué syndical est inacceptable !
Convaincus tant de la probité que de la détermination syndicale de notre camarade, nous pouvons imaginer les réelles motivations de cette sanction.
Ces pratiques patronales sont connues dans le département et plus largement sur le plan national.
Nous connaissons leurs armes de combat contre la CGT et les salariés qui osent lutter :
- les sanctions et licenciements de salariés et de syndiqués qui luttent
- l’entrave à l’exercice du droit syndical, du droit de grève et de manifester
- la propagande massive contre la CGT, contre les grévistes et les manifestants
- Les accusations de « voyous », « contestataires », « radicaux » …
- Les poursuites et les condamnations judiciaires
- …
Ils font tout pour nous faire taire !
Chaque fois, nous devons faire corps et répondre collectivement à ces attaques.
C’est dans ce contexte que notre camarade, soutenu par son syndicat, l’UL de Nantes, l’UD, et la FD FERC a saisi le Conseil des Prud’hommes de Nantes. L’audience du Bureau de Conciliation et d’Orientation n’ayant pas permis d’obtenir gain de cause, une date de bureau de jugement a été fixé au :
Jeudi 3 mai 2018 à 14h00 Au Conseil de Prud’hommes de Nantes.
Nous appelons au soutien le plus large pour faire respecter les libertés syndicales !